Christian Signol LÀ OÙ VIVENT LES HOMMES Éditeur : Albin Michel – septembre 2021 EAN : 978-2298175837 |
Christian Signol se retrouve propulsé (depuis l’année 2015) parmi les romanciers intégrés au sein de la famille des écrivains préférés de l’hexagone.
Sa recherche d’un perpétuel retour à la nature naturante et/ou naturée ; sa quête – de l’imperceptible « UNIVERS » du « SACRÉ » dans le monde perceptible animé – explique sans doute l’engouement des lecteurs qui -en ces années de troubles et de vertigineuse virtualité – perdent quelque peu leur équilibre afin d’aller explorer le champ des possibles au cœur d’un monde numérique et parfois déshumanisé. « Là où vivent les hommes » se révèle être une merveilleuse histoire de solidarité et de fraternité entre des êtres humains venus d’univers opposés.
Deux drames « se rencontrent » propulsant deux êtres au sein d’une même lumière. Tous deux s’étonnent de leurs différences et de leur proximité. Le jeune homme, banquier surdoué, a fui la ville et son drame associé tandis que le berger impassible, d’un âge beaucoup plus avancé, cache sa sagesse et ses blessures, demeurant – à jamais – en pays de Lozère sur la brèche d’une vie qui risque de s’effondrer à chaque pas, à chaque instant en fonction des éléments d’une réalité à venir difficile « à réinventer » Tous deux, au seuil de la perdition, vont peu à peu découvrir leur complémentarité sur les.chemins de terre et d’étoiles de ce hameau de Lozère. L’un par l’autre et l’un pour l’autre pourront désormais réussir à désirer survivre et vivre de toute la force de leur âme malgré l’adversité. |
Béatrysse Dartstray |
Catégorie : Petite bibliothèque
Les ouvrages présentés dans cette catégorie font l’objet de commentaires totalement subjectifs.
Les enfants et adolescents « qui prennent la plume », et qui sont édités, n’apparaissent pas sur la liste des œuvres figurant sur cet espace de liberté car LES ÉDITEURS NE PEUVENT SE MUER EN ÉDUCATEURS. Merci à vous. |
Ces livres impliquent tous – pour moi – un questionnement, une réflexion qui « s’évaporent » finalement au seuil d’une semi-neutralité ou d’une indéfinissable étrangeté laissant une trace inaltérable sur les registres de la psyché. Par conséquent, ces œuvres ne porteront pas d’idéogrammes. Bienvenus seront les lecteurs qui apporteront avec moi un commentaire sur la substance de ces ouvrages… |